JAPON QUATRE TRIPTYQUES
Exposition Voeux d'Artistes - Online - Nov 2020
Cette série photographique naît de la découverte du Japon en 2017, sur les traces d'une femme française, Mana, aïeule de mes enfants, comme lectrice auprès de l'impératrice du Japon dans les années 20.
Construite sous forme de triptyques, elle donne à voir et à questionner un Autrement.
TSUNDOKU où l'habitude d'accumuler des livres que l'on ne lira pas, pour dire l'étrangeté de choses que nous ne nommons pas ici.
OBI, cette ceinture de Kimono. Comme un lien entre tradition et modernité, la photo comme des estampes de l'époque Edo pour influencer et définir les nouveaux codes de la féminité.
AKA, rouge de l'épicentre du bombardement d'Hiroshima, de la tour de Tokyo, copie augmentée de la Tour Eiffel, des arbres revêtus des pois blanc de Yayoi Kusama, supports sublimés de ses obsédantes hallucinations.
Construite sous forme de triptyques, elle donne à voir et à questionner un Autrement.
TSUNDOKU où l'habitude d'accumuler des livres que l'on ne lira pas, pour dire l'étrangeté de choses que nous ne nommons pas ici.
OBI, cette ceinture de Kimono. Comme un lien entre tradition et modernité, la photo comme des estampes de l'époque Edo pour influencer et définir les nouveaux codes de la féminité.
AKA, rouge de l'épicentre du bombardement d'Hiroshima, de la tour de Tokyo, copie augmentée de la Tour Eiffel, des arbres revêtus des pois blanc de Yayoi Kusama, supports sublimés de ses obsédantes hallucinations.
KEIR0 NO HI, jour férié dédié au respect des personnes âgées, comme l'ambivalence de cette vieille dame contrainte de travailler au sublime des jardins en protégeant ses genoux d'un tapis de jeu d'enfant, comme ce regard d'enfant, à Hiroshima, arborant innocemment les emblèmes de l'Amérique, qui nous questionne encore et encore.
TSUNDOKU
OBI
AKA
KEIRO NO HI